Révoltes de Golibiya (Asie centrale) (1939-...)
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Révoltes de Golibiya (Asie centrale) (1939-...)
Révolte des Golibiya d'Asie centrale
Union des Républiques Socialistes Soviétiques Stalinisme | Sultanat du Turkestan Société traditionnelle Rebelles "Golibiya" des clans montagnards Rebelles |
Commandants: Josef Staline, premier secrétaire du PCUS Semyon Timoshenko, général - armée rouge | Commandants: Mohammed Alim Khan, sultan Nombreux chefs tribaux indépendants |
Forces en présence: Corps de pacification (Hailar) :21.000 soldats d'infanterie 4.000 miliciens 11.000 cavaliers 1365 blindés 5 escadrilles | Forces en présence: Volontaires de la foi (Ghazis) (Khabarovsk) : 10.000 miliciens Clans de la montagne (Sakhalin) : Plusieurs dizaines de milliers d'hommes. Troupes du sultan (Irkutsk) : +/- 500 hommes équivalents cavalerie régulière |
Rébellion en Asie centrale!
Octobre 1939 - avrill 1940
Octobre 1939 - avrill 1940
L'Asie centrale s'est soulevée contre l'oppression soviétique durant la guerre nippo-soviétique, peut-être avec de l'aide en argent et armes de l'étranger... les foules d'émeutiers ont passé à sac les représentations du pouvoir soviétique détesté, et ont massacré les membres du PCUS. Lorsque les arsenaux sont tombés, les révoltés sont devenus de dangereux rebelles armés de bric et de broc. Leur cri de guerre, "golibya, golibya!", "victoire, victoire!" est passé comme nom de la révolte.
Dans la montagne, les clans ont également ressorti les vieux fusils datant de l'invasion russe au siècle dernier, et ont réglé de vieux comptes avec les percepteurs fiscaux et les chefs des sections locales du parti. Toutefois, la rébellion a réellement pris forme lorsque la répression soviétique s'est soldée par des bombardements et un massacre de la population. Sous le sud du Turkestan s'est alors enflammé, d'Ashgabat jusqu'à Douchambe, en passant par les montagnes de l'Altai et de l'Hindu Kush, sans oublier la vallée du Ferghana. A Douchambe, le vieux sultan de Boukhara a été tiré de sa retraite paisible et plus ou moins forcé de prendre la tête de la révolte, devenant sultan du Turkestan.
La reconquête a débuté par la prise de Samarkande et Boukhara par le corps soviétique, toutefois l'armée ne fait qu'aller d'une ville à l'autre jusqu'ici. Le conflit promet d'être long et sanglant...
[HRP]Rapport de guerre d'aujourd'hui plus tard ce soir. Ceci était un rappel des évènements récents.[HRP]
Re: Révoltes de Golibiya (Asie centrale) (1939-...)
Mai-juin 1940
La révolte continue. Virtuellement tout le sud de l'Asie centrale est sous contrôle rebelle, en dehors des zones peu peuplées des côtes de la mer noire, et la région d'Alma-Ata, au Kazakhstan.
L'armée soviétique stationne toujours à Boukhara, et entreprend de pacifier la région brutalement. Toute personne trouvée avec des armes ou manifestant la moindre hostilité au régime soviétique est massacrée, et les villages alentours sont pillés à la recherche de nourriture afin de sustenter l'armée dans l'immense désert centrasiatique. La présence rebelle diminue singulièrement autour de BOukhara; emmenant leur familles, ils sont partis vers l'est, dans les montagnes, ou vers le sud, espérant passer la frontière persane ou Afghane et vivre en exil dans un pays où leur dieu et leur vie ne sont pas autant bafouées. Des informations, débitées par les canaux officiels et officuex, font états de massacres également perpétrés par les rebelles, toutefois la population ne croît guerre que les tribus de la montagne vont aller tuer leurs propres femmes et enfants...
Dans l'est, le sanctuaire tadjik et ferghanais des rebelles reste inattaqué. L'épuration est terminée, et l'essentiel des signes de souveraineté de l'URSS dans la région a été éliminé. En faisant transiter armes et munitions par la frontière du Xinjiang, les rebelles renforcent légèrement leurs stocks déjà importants, même si au sud les afghans semblent tenter mollement de sécuriser leur frontière, avec guère de succès, les montagnes étant traitres et les clans en connaissant chaque coin et recoin.[/quote]
La révolte continue. Virtuellement tout le sud de l'Asie centrale est sous contrôle rebelle, en dehors des zones peu peuplées des côtes de la mer noire, et la région d'Alma-Ata, au Kazakhstan.
L'armée soviétique stationne toujours à Boukhara, et entreprend de pacifier la région brutalement. Toute personne trouvée avec des armes ou manifestant la moindre hostilité au régime soviétique est massacrée, et les villages alentours sont pillés à la recherche de nourriture afin de sustenter l'armée dans l'immense désert centrasiatique. La présence rebelle diminue singulièrement autour de BOukhara; emmenant leur familles, ils sont partis vers l'est, dans les montagnes, ou vers le sud, espérant passer la frontière persane ou Afghane et vivre en exil dans un pays où leur dieu et leur vie ne sont pas autant bafouées. Des informations, débitées par les canaux officiels et officuex, font états de massacres également perpétrés par les rebelles, toutefois la population ne croît guerre que les tribus de la montagne vont aller tuer leurs propres femmes et enfants...
Dans l'est, le sanctuaire tadjik et ferghanais des rebelles reste inattaqué. L'épuration est terminée, et l'essentiel des signes de souveraineté de l'URSS dans la région a été éliminé. En faisant transiter armes et munitions par la frontière du Xinjiang, les rebelles renforcent légèrement leurs stocks déjà importants, même si au sud les afghans semblent tenter mollement de sécuriser leur frontière, avec guère de succès, les montagnes étant traitres et les clans en connaissant chaque coin et recoin.[/quote]
Re: Révoltes de Golibiya (Asie centrale) (1939-...)
Juillet-novembre 1940
L'armée soviétique se remet en route pendant l'été depuis Boukhara vers l'est, et se dirige de nouveau vers Tashkent. En chemin, d'importants groupes d'éclaireurs sont dispersés. De petits groupes sont envoyés au loin dans les montagnes afin de tenter des embuscades, mais la plupart du temps ce sont eux qui, ne connaissant pas le pays, sont pris en embuscade. Vers la fin de l'été, la plupart des éclaireurs dépêchés dans ces régions sont tués ou en fuite. De massacres de blessés et civils sont perpétrés, et les soviétiques tentent de les mettre sur le dos des rebelles, sans réellement de succès.
Mi-août l'armée prend ses quartiers à Tashkent, désertée par les rebelles. Seul un quart des habitants demeurent dans la grande cité. Mais à peine se sont-ils installés qu'ils apprennent que la poignée de soldats et de miliciens laissés garder Boukhara a été attaquée de nuit et massacrée par une bande de nomades du désert et de rebelles. C'est comme si rien ne s'était passé durant les derniers mois; l'ouest de l'Ouzbekhistan est de nouveau sous contrôle insurgé.
Pendant ce temps, l'armée rouge vit de plus en plus sur le pays, pillant sans vergogne les faibles réserves alimentaires. La famine risque bientôt de faire rage et de prendre les deux camps au cou... Rarement la haine du pouvoir soviétique a été aussi féroce, et on signale désormais les premières agitations au Kazakhstan, où les tchétchènes relocalisés, les allemands et les nomades s'attendent à être les prochains massacrés...
Au début de l'hiver, on signale l'arrivée prochaine d'un corps d'armée important à Alma-Ata.
L'armée soviétique se remet en route pendant l'été depuis Boukhara vers l'est, et se dirige de nouveau vers Tashkent. En chemin, d'importants groupes d'éclaireurs sont dispersés. De petits groupes sont envoyés au loin dans les montagnes afin de tenter des embuscades, mais la plupart du temps ce sont eux qui, ne connaissant pas le pays, sont pris en embuscade. Vers la fin de l'été, la plupart des éclaireurs dépêchés dans ces régions sont tués ou en fuite. De massacres de blessés et civils sont perpétrés, et les soviétiques tentent de les mettre sur le dos des rebelles, sans réellement de succès.
Mi-août l'armée prend ses quartiers à Tashkent, désertée par les rebelles. Seul un quart des habitants demeurent dans la grande cité. Mais à peine se sont-ils installés qu'ils apprennent que la poignée de soldats et de miliciens laissés garder Boukhara a été attaquée de nuit et massacrée par une bande de nomades du désert et de rebelles. C'est comme si rien ne s'était passé durant les derniers mois; l'ouest de l'Ouzbekhistan est de nouveau sous contrôle insurgé.
Pendant ce temps, l'armée rouge vit de plus en plus sur le pays, pillant sans vergogne les faibles réserves alimentaires. La famine risque bientôt de faire rage et de prendre les deux camps au cou... Rarement la haine du pouvoir soviétique a été aussi féroce, et on signale désormais les premières agitations au Kazakhstan, où les tchétchènes relocalisés, les allemands et les nomades s'attendent à être les prochains massacrés...
Au début de l'hiver, on signale l'arrivée prochaine d'un corps d'armée important à Alma-Ata.
Re: Révoltes de Golibiya (Asie centrale) (1939-...)
Décembre-février 1940-1941
Changement de stratégie des soviétiques. Les forces armées à Tashkent s'attèle à une politique de contrôole territorial, envoyant de nombreux petits groupes afin d'effectuer des reconnaissances et de dénicher les rebelles des environs. Enfin la fortune des combats semble sourire aux soldats de l'armée rouge, qui sont en mesure de sécuriser les environs de Tashkent. Après plusieurs engagements ponctuels, les rebelles se replient dans les montagnes à l'est et au sud.
En parallèle, au nord, une nouvelle vague de troupe déferle sur la région de Stalinabad (Bishkek), occupant le territoire et repoussant progressivement les rebelles lorsqu'ils le trouvent. Finalement, ils entrent dans la ville, quasiment pas défendue. Toutefois, il est assez clair que la population est hostile... les regards noirs et haineux de la population en disent long.
Pendant ce temps, les montagnes de l'Altai et de l'Hindu Kush, ainsi que la vallée du Ferghana et de l'Amou-Daria demeurent totalement hors de contrôle.
Changement de stratégie des soviétiques. Les forces armées à Tashkent s'attèle à une politique de contrôole territorial, envoyant de nombreux petits groupes afin d'effectuer des reconnaissances et de dénicher les rebelles des environs. Enfin la fortune des combats semble sourire aux soldats de l'armée rouge, qui sont en mesure de sécuriser les environs de Tashkent. Après plusieurs engagements ponctuels, les rebelles se replient dans les montagnes à l'est et au sud.
En parallèle, au nord, une nouvelle vague de troupe déferle sur la région de Stalinabad (Bishkek), occupant le territoire et repoussant progressivement les rebelles lorsqu'ils le trouvent. Finalement, ils entrent dans la ville, quasiment pas défendue. Toutefois, il est assez clair que la population est hostile... les regards noirs et haineux de la population en disent long.
Pendant ce temps, les montagnes de l'Altai et de l'Hindu Kush, ainsi que la vallée du Ferghana et de l'Amou-Daria demeurent totalement hors de contrôle.
Re: Révoltes de Golibiya (Asie centrale) (1939-...)
Mars-Avril 1941
L'armée soviétique continue de grignoter du territoire en Asie centrale en agissant par cercles concentriques autour de leurs points d'appui. Sans tenter d'engagements massifs et en usant de groupes de combat légers. A la fin du mois d'avril, l'essentiel du territoire en plaine et collines est sous contrôle. Toutefois, les montagnes demeurent largement hors de contrôle, l'équipement des troupes soviétiques est inadapté, de même que les engagements dans les montagnes sont une véritable horreur. Les progrès sont petits.
Pendant ce temps, on signale des agitations dans les plaines du Kazakhstan. On serait sans nouvelles de plusieurs tribus nomades...
L'armée soviétique continue de grignoter du territoire en Asie centrale en agissant par cercles concentriques autour de leurs points d'appui. Sans tenter d'engagements massifs et en usant de groupes de combat légers. A la fin du mois d'avril, l'essentiel du territoire en plaine et collines est sous contrôle. Toutefois, les montagnes demeurent largement hors de contrôle, l'équipement des troupes soviétiques est inadapté, de même que les engagements dans les montagnes sont une véritable horreur. Les progrès sont petits.
Pendant ce temps, on signale des agitations dans les plaines du Kazakhstan. On serait sans nouvelles de plusieurs tribus nomades...
Re: Révoltes de Golibiya (Asie centrale) (1939-...)
Mai-juin 1941
Pas de changement de stratégie de l'armée rouge. Les plaines du Kirghizistan et la région de Tashkent demeurent sous un fort contrôle soviétique.
Pendant ce temps, on signale que dans la vallée du Ferghana et au Tadjikistan les forces rebelles s'organisent en structures paramilitaires plus cohérentes et améliorent leur armement, tandis que des volontaires rejoignent des milices improvisées.
Au Kazakhstan, les nomades sont tombés sur les villes de Kisiljar et d'Atasu, et ont systématiquement liquidé les symboles du pouvoir communiste sur place, sous les vivats de la foule. Ils ont étés rejoints par des groupes déportés au Kazakhstan par les soviets: les allemands de la Volga et les Tchétchènes. A présent, ils marchent sur la ville stratégiquement importante de Karaganda, par laquelle passe la voie ferrée approvisionnant les armées situées plus au sud.
Pas de changement de stratégie de l'armée rouge. Les plaines du Kirghizistan et la région de Tashkent demeurent sous un fort contrôle soviétique.
Pendant ce temps, on signale que dans la vallée du Ferghana et au Tadjikistan les forces rebelles s'organisent en structures paramilitaires plus cohérentes et améliorent leur armement, tandis que des volontaires rejoignent des milices improvisées.
Au Kazakhstan, les nomades sont tombés sur les villes de Kisiljar et d'Atasu, et ont systématiquement liquidé les symboles du pouvoir communiste sur place, sous les vivats de la foule. Ils ont étés rejoints par des groupes déportés au Kazakhstan par les soviets: les allemands de la Volga et les Tchétchènes. A présent, ils marchent sur la ville stratégiquement importante de Karaganda, par laquelle passe la voie ferrée approvisionnant les armées situées plus au sud.
Re: Révoltes de Golibiya (Asie centrale) (1939-...)
Juillet-août 1941
L'armée rouge piétine dans les plaines au nord des montagnes d'Asie centrale. Celles-ci ont étés largement nettoyées, toutefois les rebelles se renforcent dans le sud de la région, la vallée du Ferghana et à la frontière Afghane. Les rebelles s'arment de plus en plus fortement, notamment en qualité, et s'entraînent. Dans les montagnes, les tribus, elles, continent de vivre en toute sérénité et autonomie...
Au Kazakhstan, les nomades et leurs alliés passent à sac plusieurs villes, et arrivent aux alentours de Karaganda à la fin du mois d'août. Dans quelques jours, les approvisionnements des troupes situées au sud seront lourdement hypothéqués par cette attaque, tandis qu'Astana, au nord, sera vulnérable...
L'armée rouge piétine dans les plaines au nord des montagnes d'Asie centrale. Celles-ci ont étés largement nettoyées, toutefois les rebelles se renforcent dans le sud de la région, la vallée du Ferghana et à la frontière Afghane. Les rebelles s'arment de plus en plus fortement, notamment en qualité, et s'entraînent. Dans les montagnes, les tribus, elles, continent de vivre en toute sérénité et autonomie...
Au Kazakhstan, les nomades et leurs alliés passent à sac plusieurs villes, et arrivent aux alentours de Karaganda à la fin du mois d'août. Dans quelques jours, les approvisionnements des troupes situées au sud seront lourdement hypothéqués par cette attaque, tandis qu'Astana, au nord, sera vulnérable...
Re: Révoltes de Golibiya (Asie centrale) (1939-...)
Septembre-octobre 1941
Pas de changements significatifs en Asie centrale. désormais les forces de protections sociétiques ont un champs d'action suffisament large pour également contribuer à sécuriser la région de Samarkande. Toutefois les rebelles restent inattaqués et inattaquables dans leur sanctuaire du sud-est, malgré quelques raids aériens.
De plus, une large partie des troupes stationnées à Stalinabad est envoyée par les généraux soviétiques de leur propre chef vers le nord, espérant restaurer la sécurité de la ligne de chemin de fer à Karaganda. Pendant ce temps, les kazakhs remontent vers Akmolinsk (Astana), et "désoviétisent" la cité. Les gardes rouges sont éliminés, les membres du PC pendus haut et court, et de nombreux antisoviétiques rejoignent la rébellion, qui se dirige de nouveau vers l'ouest et les steppes.
Pas de changements significatifs en Asie centrale. désormais les forces de protections sociétiques ont un champs d'action suffisament large pour également contribuer à sécuriser la région de Samarkande. Toutefois les rebelles restent inattaqués et inattaquables dans leur sanctuaire du sud-est, malgré quelques raids aériens.
De plus, une large partie des troupes stationnées à Stalinabad est envoyée par les généraux soviétiques de leur propre chef vers le nord, espérant restaurer la sécurité de la ligne de chemin de fer à Karaganda. Pendant ce temps, les kazakhs remontent vers Akmolinsk (Astana), et "désoviétisent" la cité. Les gardes rouges sont éliminés, les membres du PC pendus haut et court, et de nombreux antisoviétiques rejoignent la rébellion, qui se dirige de nouveau vers l'ouest et les steppes.
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