Du prix du pétrole

L'annonce étant publique, le gouvernement du Commonwealth juge approprié de réagir. Bien qu'il soit très loin de considérer que l'Union Nippo-Coréenne fasse partie des pays les plus pauvres de la planète ou qu'il soit même exploité, il ne peut qu'appuyer le premier point des observations japonaises. Le gouvernement souhaiterait pointer le fait qu'une telle hausse du prix de l'énergie provoquerait un effondrement des entreprises dans plusieurs secteurs, qu'il s'agisse du commerce de matière premières et des entreprises de transformation. La conséquence direct serait un ralentissement de la demande internationale et l'incapacité pour les entreprises et populations d'acquérir de nombreux bien, notamment ceux d'Etats produisant des biens à forte valeur ajoutée. Le département d'Etat a-t-il conscience de ce qu'il soutient ? Croit-il réellement que sa production de pétrole seule est en mesure de soutenir la croissance retrouvée de son économie ? C'est encore son propre redressement économique qu'il abat froidement en interdisant à sa population de bénéficier d'énergie à un prix juste.

N'étant pas importateur significatif mais l'importation ayant une importance cruciale dans le développement économique australien, le gouvernement du Commonwealth ne peut que souscrire à l'idée d'un droit de membre observateur pour tout importateur en faisant la demande s'il peut justifier l'importance des importations de pétrole pour son économie. Le gouvernement émet cependant une réserve sur l'idée de droit de veto.


HJ : l'unité de pétrole n'est pas un baril mais 1000 barils (et donc le prix se calcule pour 1000 barils ici), ça compense mais le prix est important en effet.

L'Argentine trouve le prix de cette exportation peut-être un peu trop gros pour un premier temps, le gouvernement Argentin propose de passer le prix à 10.5$ en un premier temps puis de monter le prix à 15 lors de la prochaine augmentation. De plus l'argentine soutient son collègue américain sur le sujet du fonctionnement de l'OPP.

10,5 dollars, ça reste du vol.

Le prix de 7,5 Dollars était déjà très élevé et si l'on compare la demande mondiale en pétrole à la production mondiale de pétrole, on constate que la première est bien inférieure à la seconde. La logique devrait être une baisse du prix, et pas une hausse fondée sur des arguments cupides.

A ce prix là, nous aurons tôt fait de revenir au charbon pour faire fonctionner notre économie. Sans même parler d'autres sources d’énergie tout aussi utiles et intéressantes ...

Nous persevons davantage ces intrusions comme une tentative d'ingérence des affaires pétrolières des membres de l'OPP. Et du fait de ces tentatives nous demanderons sous peu l'établissement de points de réunions tenus secrets pour que les discussions des membres de l'OPP se fassent dans le plus grand calme. Les résultats de ces disussions seront rendus publiques par le secretaire générale qui sera effectivement élu tous les deux ans parmit les membres de l'OPP.

La parole Argentine n'était qu'une proposition, mais l'état Argentin comprend les réticences des peuples ne produisant pas. Il est vrai qu'une montée trop significative du prix du pétrole est dangereuse. L'Argentine prendra donc sur ce sujet une place neutre, n'étant pas contre une augmentation mais comprenant le besoin de laisser au même prix.

Le Royaume-Uni s'oppose à une telle montée du prix du baril.
Il aurait pour conséquence d'affecter grandement les pays à forte industrialisation (nous ne nous comptons pas dedans, étant auto-suffisant en pétrole), dans le sens où se prix trop élevé ralentirai fortement l'industrie occidentale, et donc sa consommation de pétrole, et ainsi nos revenus. De plus, trop valeur pour l'or noire risque d'exacerber des tensions et mener à des conflits ayant pour motif celui-ci, et ce n'est pas ce que souhaite l'organisation. Augmenter le prix officiel du baril de 7$ à l'heure actuelle à 9$, voir 10$, car c'est le tarif pratiqué officieusement serait l'extrême limite selon nous.

Nous sommes d'accords avec le Royaume Unis. Quand à notre dernière proposition, notre but étant de délier les langue afin d'obtenir quelque chose de bénéfique d'une proposition farfelue...